Raisons, enjeux, conséquencesLe père Daniel Lacouture nous livre ici une précieuse réflexion, accessible à tous, alliant théologie et spiritualité, porte sur une question ouverte, essentielle, qui frémit actuellement dans l'Eglise : Allons-nous vers la définition du dogme de Marie médiatrice de toutes grâces ? Question de foi attachée au mystère de l'Eglise, déployée dans sa richesse, lourde d'enjeux majeurs et de conséquences spirituelles. Question restée ouverte au Concile et enrichie par l'apport de l'encyclique mariale du Pape Jean-Paul II. Dans cette perspective, le père Lacouture offre un livre brûlant d'actualité qui ouvre des perspectives mariologiques vitales pour cette fin de second millénaire. On n'a jamais fini de se dévoiler à nous, pour notre plus grande joie. Un réflexion à la fois théologique et spirituelle sur cette question laissée ouverte par Vatican II : Marie, médiatrice de toutes grâces ? Un beau livre porté par l'amour que l'auteur porte à Marie.. I - Dans la lumière du Concile 1. ''Lumen gentium'' 2. Remarques préalables II - La lampe sur le lampadaire (Lc 8, 6-18) III - Que dit l'Ecriture 1. Figures prophétiques de l'Ancien Testament 2. Le Nouveau Testament IV - La tradition vivante et le magistère de l'Eglise 1. La tradition vivante 2. Le magistère V - Marie, médiatrice de toutes grâces ? 1. Epouse de Dieu et mère 2. Avocate 3. Co-rédemptrice 4. De toutes grâces ? 5.... Car ''Dieu est amour'' (1 Jn 4, 8) VI - Les grands enjeux du dogme 1. Introduction 2. L'unité de l'Eglise 3. L'illumination d'Israël et la Parousie 4. Marie et l'évangélisation 5. L'Islam et le New-Age 6. Marie, Reine de la Paix VII - Autres conséquences 1. Perspectives 2. Mère de Miséricorde : ''la pièce retrouvée'' 3. ''Debout'', au seuil de l'enfer 4. ''Purifications mariales'' : la porte étroite de l'humilité 5. Miséricorde tous azimuts 6. Ministères de guérison et de libération 7. Médiatrice de la prière VIII - Synthèse finale 1. Comme une ''tour d'ivoire'' 2. L'attente comblée 3. Une réponse de Dieu pour notre temps La conclusion est à la prière